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Comment faire ?

Extrait du mail d’Albeiro :
« Como se lo he dicho en varias oportunidades no he parado ni un minuto en buscar nuestros propios recursos para sostenernos, a veces siento pena pedirle a ustedes dinero, pero cada vez hay mas competencia, cada dia se crean mas instituciones que piden, mas ancianos en las calles, mas niños abandonados entre otros. Seguimos con los diferentes programas y actividades como el bingo bazar, el banquete, el plan padrinos, las visitas a las plazas de mercado, panaderías, colegios en donde le pedimos a cada niño que regale un jabón o utensilios de aseo.
Estoy convencido que pedir limosna no va a solucionar ni garantizar el sostenimiento de nuestra labor, debo seguir buscando estrategias que nos permitan recoger algunos fondos y que ademas las personas no se sientan tan acosadas y se cansen de que todo el mundo les pida »
« Comme je te l’ai souvent dit, je n’arrête pas un seul instant de chercher « nos propres ressources de fonctionnement ». Parfois, cela me fait peine de te demander d’envoyer de l’argent, mais il y a chaque jour plus de « concurrence ». Chaque jour se créent de nouvelles associations qui demandent de l’argent ; plus de petits vieux dans les rues ; plus d’enfants abandonnés de tous. Nous continuons d’organiser nos différents programmes et les activités, comme les bingos, les repas de charité, le plan de parrainage, les quêtes sur les marchés, dans les boulangeries, dans les collèges où nous demandons à chaque enfant de donner ne serait ce qu’une savonnette.
Je suis convaincu que « faire la quête » ne pourra solutionner la situation, ni garantir le fonctionnement de notre action. Je dois donc continuer à chercher « des stratégies » qui nous permettent de récupérer des fonds, et en plus, faire que les éventuels donateurs ne se sentent pas « agressés », et finissent par se fatiguer de tout ce monde qui leur demande quelque chose »

 » Devoir choisir entre les misères… »

Extrait du mail d’Albeiro :
« En esta semana que paso, han muerto dos abuelos, que han dejado huella por sus talentos. Uno de ellos era « el poeta », un abuelo que se sabia la Marseillesa, tanto en frances como en español… Ahora la tristeza no es por que se mueren, sino por lo dificil que se me es escojer entre las mas de 60 solicitudes que tengo de abuelitos y abuelitas que suplican que les acojamos. Esto es terrible, por que escojer al mas pobre entre los pobres es complicado… pero me toca, esta semana, hacerlo… »
« Au cours de la semaine passée, deux abuelitos sont morts, qui nous auront marqués par leurs divers talents. L’un d’entre eux était « Le Poète », un petit vieux qui savait « La Marseillaise », tant en français qu’en espagnol… Maintenant, ce qui est triste n’est pas qu’ils meurent, mais la difficulté à devoir choisir entre plus de soixante demandes des personnes âgées, qui nous supplient de les accueillir. Cela est terrible, parce que « choisir » le plus pauvre d’entre les pauvres est bien compliqué. Mais c’est ce je vais devoir faire, cette semaine… »

Moment de désespoir…

Extrait du Mail d’Albeiro
« Bueno, ahora cambiando un poco de tema, quiero pedirle el gran favor si le es posible de enviarme algo de dinero, porque estamos « pasando gasolina », he querido esperar hasta el ultimo momento, antes de hacerlo y de llegar a preocuparlo, pero al dia de hoy la alcaldia y la gobernacion nos adeudan algunos dineros desde el mes de mayo y esto nos ha ocasionado algunos problemas… »
« Bon ! Maintenant, changeant de sujet, je voudrais te demander de m’envoyer un peu d’argent, parce que nous en bavons en ce moment, et j’ai voulu attendre le dernier moment avant de le faire et de causer de nouveaux tracas. Mais la Mairie et le Gouverneur nous doivent quelques subventions, depuis Mai, et cela nous cause quelques problèmes… »

« La verdad es que desde hace tres meses hemos tenido que suspender tres empleados, a algunos profesores les hemos bajado el tiempo, estamos haciendo recortes en algunos servicos y en campaña del ahorro, reutilizar el papel recilcado, no utilizar la secadora industrial de ropas, desconectar algunas neveras, entre otras cosas. Ultimamente los servicios publicos se han duplicado y no tenemos ningun trato especial, se nos trata como cualuqier empresa. No quiero asustar ni preocupar a los abuelitos, pero la verdad es que cada dia las cosas se ponen mas dificiles…
Yo no me he quedado quieto ni un minuto, sigo con los bingos, los bazares, seguimos vendiendo las galletas, ahora vendemos los bonos de condolencias, seguimos con las tarjetas de navidad, los productos que realizamos en papel artesanal, el apadrinaje entre otras tantas cosas, pero no es suficiente para cubrir todas las necesidades y gastos que tenemos. Cada dia sale una competencia de mas, alguien nuevo que pide y el gobierno sigue siendo ciego y sordo antes esta cruel y triste realidad.
Amigo, tengo que contarle todo esto, por que no puedo ocultarle esta situacion, eso cada dia me tortura porque no se hasta donde voy a hacer capaz de aceptar y aguantar todo esto. Es una preocupacion que me come la cabeza y que me quita el sueño muchas noches… No debo dejarme vencer, pero como humano que soy me canso y me pongo muy triste… »
« La vérité est qu’il y a trois mois, nous avons du licencier trois employés ; baisser les heures de quelques professeurs et réduire certains services et faire des économies comme débrancher plusieurs réfrigérateurs, réutiliser le papier recyclé, entre autres.. Dernièrement, les tarifs des services publics ont doublé, et nous ne bénéficions d’aucun traitement de faveur. On nous considère comme n’importe quelle entreprise. Je ne veux pas inquiéter les Abuelitos, mais en vérité, les choses sont chaque jour, plus difficiles.
Je n’ai pas arrêté une minute : On continue à organiser des lotos, des ventes de charité ; nous continuons à vendre des biscuits, de même « les bons de condoléance », les cartes de Noël et tous les produits que nous réalisons, en papier recyclé. Le programme du parrainage marche, mais tout cela n’est pas suffisant pour couvrir tous les frais que nous avons. Chaque jour apparaît une nouvelle priorité, quelqu’un qui demande de l’aide, mais le gouvernement reste aveugle et sourd devant cette triste réalité.
Mon ami, je dois te raconter tout cela, parce que je ne peux cacher une situation qui, chaque jour, me torture, car je ne sais jusqu’à quand je serai capable d’accepter et de supporter tout cela. C’est une préoccupation qui me dévore la tête et m’empêche de dormir, bien souvent. Je ne dois pas me laisser abattre, mais je suis un être humain, et tout cela me fatigue et me rend bien triste… »

Albeiro fédère 42 foyers du 3ème âge de la région

Extrait du mail d’Albeiro :
« Me siento orgulloso de que finalmente logre crear la asociación santandereana de hogares de ancianos, no fue nada fácil convencer a los diferentes directores para que nos uniéramos y poder juntos reclamar y defender los derechos de los ancianos del departamento. Se asociaron 42 instituciones de toda la región y hemos iniciado la labor de darnos a conocer en los diferentes medios de comunicación y entidades gubernamentales. Estoy seguro que la unión hace la fuerza, porque cada vez se hace más difícil convencer a nuestros gobernantes de la cruel realidad que viven nuestros abuelos y las difíciles crisis que atravesamos las instituciones… »
« Je suis très heureux d’avoir réussi finalement à créer « l’Association Santandereana des Foyers du Troisième Age ». Cela n’a pas été facile d’en convaincre tous les directeurs, de nous unir, pouvoir présenter ensemble des requêtes, et défendre les droits des Anciens de notre département du Santander. Quarante deux établissements de toute la région se sont associés, et nous avons commencé à en faire la communication à tous les médias, ainsi qu’aux différents niveaux gouvernementaux. Je suis certain que l’union fait la force. Parce que chaque jour davantage il est difficile de convaincre nos responsables politiques, de la cruelle réalité qui frappe nos abuelitos, et des dures difficultés que nous, les institutions, traversons… »

DAX : Les lumières d’un costume d’or, pour Albeiro

Faisant écho au geste de générosité d’un photographe Dacquois, le matador Colombien Cesar Rincon va, pour la seconde fois depuis 1991, faire cadeau à l’Association, d’un de ses riches costumes de lumières, afin qu’il soit vendu aux enchères, au profit de l’œuvre d’Albeiro Vargas. Sachant qu’il faut essayer d’en obtenir le meilleur prix, il confie cette mission à la Ville de Dax, « amie de longue date », par l’intermédiaire de son maire, Jacques Forté.
En présence d’une belle assemblée, le torero vante l’action d’Albeiro, en rappelant sa visite au Coin de France, il y a trois ans ; et remercie celle des Français, « depuis si longtemps… ». De son côté, en s’engageant à trouver bon acquéreur pour le précieux objet, le Maire de Dax souligne l’exemplarité de l’action inter générationnelle, « née d’un enfant », en espérant que « cela puisse nous faire réfléchir, nous qui avons tout, et délaissons parfois un peu trop nos propres « abuelitos ».
Ce furent des moments de belle émotion. Quelques mois plus tard, le Maire de Dax aura tenu sa parole, et tous étaient heureux de cette nouvelle et belle solidarité.

Présentation

Video Présentation des "Voix pour Albeiro", par la Fondation Albeiro Vargas

Émission Radio

Émission « Un cœur en or » France Bleu Pays Basque – Mars 2004

Le site de la Fondation

Site de Ruitoque Casamayor

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