INSTALLATION ET MONTAGE D’UN EVENEMENT
7 Septembre 2012 – Veille du spectacle. La journée sera chaude : On prédit une météo favorable durant tout le week end.
Dans le parc Ducontenia, les badauds découvrent la fièvre des préparatifs. Très tôt, les techniciens s’affairent : la scène est envahie de matériel et d’électronique. Les gradins de béton sont peuplés de chaises, prêtées par les villes de Bayonne, Urrugne, Saint-Vincent-de-Tyrosse, Capbreton, Tarnos… 1800 chaises qu’il faudra transporter, « manutentionner », installer… Ce sera « le cauchemar » du week-end.
Pourtant, déjà arrivent les techniciens et les musiciens. A la nuit, la scène est installée, on règle les dernières lumières… Demain, tout sera prêt, le spectacle pourra commencer.
Dans les gradins, l’inquiétude : il manque 500 chaises. En fait, elles arriveront le samedi, en fin de matinée.
… Et à partir de ce moment, ce sera… « la grande course ».
LES PARTENARIATS S’INSTALLENT
27 Août 2012 – Si la presse écrite locale, a mis beaucoup de temps à ouvrir ses colonnes au projet, deux partenaires ont aussitôt compris son importance, au niveau artistique et « humain » : Radio France-Bleu Pays Basque et la télévision régionale TVPI ont apporté un soutien sans faille à la soirée, en faisant grande promotion sur toutes les ondes, dans les dix jours précédent le concert, par le son et l’image…
Puis ce furent les radios en langue Basque, grâce notamment à RadioKultura, lors d’une conférence de presse à laquelle prirent part les Grands de la Culture et du chant Basques que sont Peio Ospital, Iñaki Urtizberera et Pierre Larrandaburu, parlant à la fois « d’un grand soir de solidarité » et d’un Albeiro Vargas qu’ils ont connu tout petit, et pour lequel ils ont chanté tous trois, bien souvent.
Enfin, la presse écrite locale s’intéressa au projet, le quotidien « Sud Ouest » publiant deux articles importants, tandis que « Le Journal du Pays Basque » et « Gara » en faisaient de même auprès de ses abonnés.
UN SITE INTERNET, « POUR CE SOIR-LA » !
10 Juillet 2012 – Afin de promouvoir la soirée, et surtout, expliquer la raison et « le contexte » de la soirée, un site internet, spécifique, est mis en place, à l’adresse évocatrice : www.imuvrini-oldarra-donibane.fr . On y trouve, en chaque rubrique textes, photos, vidéos, qui présentent chacun des groupes vedettes, leur historique, et surtout les liens qui les unissent avec Albeiro, liens qu’ils ont aussi tissés entre eux, pendant les vingt ans de notre cheminement au côté du jeune ami Colombien.
Quelques jours après le concert, il sera décidé de garder ce site, de le transformer en trois parties : « avant ; pendant ; et après », où seront réunis tous les documents, notamment « visuels », se rapportant à cette soirée « unique »…
En attendant, le site est ouvert, où chacun peut découvrir le projet d’une soirée d’été, à Donibane – Saint Jean de Luz.
NAISSANCE DE « UN SOIR A DONIBANE »
15 Mai 2012 – Dans le seul objectif d’une totale clarté, afin que soient bien différenciés les dons qui arrivent pour Albeiro, et les sommes qu’impliquent l’organisation d’un tel spectacle (sponsorings, recettes des entrées, frais techniques et cachets des artistes), il est décidé de créer une association spécifique au concert du 8 Septembre.
Cette association, composée d’une douzaine de personnes acquises au projet, et ayant toutes fait partie, à un moment, du parcours d’Albeiro de France, est baptisée : « Un soir à Donibane ».
Ses statuts sont déposés, le 12 Mai en Sous Préfecture de Bayonne. Elle est destinée à gérer le budget du concert, en rendre les comptes, en toute clarté, reportant les bénéfices éventuels aux « Voix pour Albeiro », puis se dissoudre aussitôt.
On verra que, de par la législation de l’Administration des Impôts, elle devra modifier son cap et sa durée dans le temps, sous peine d’être considérée comme une véritable entreprise, concurrentielle à toute société organisant des spectacles payants…
Une surprise totale et une question : « L’honnêteté paie t’elle encore ? »
« PAYS BASQUE, CORSE ET… AMERICA LATINA ! »
5 Avril 2012 – L’affiche première pouvant prêter à confusion, « de loin », il est proposé une autre version, plus « soft », à laquelle viendra se mêler une allusion à l’Amérique latine, le drapeau Basque, frappé de « la Tête de Maure » Corse, flottant sur une rue que domine un clocher évoquant fortement la Colombie.
Ce visuel et cette idée – émise par Pierre Saüt, professeur coordonateur du BTS Audiovisuel de Biarritz – seront adoptés à l’unanimité, puis travaillée « à deux », jusqu’au résultat final, apposé sur tous les murs de la région, à partir e Juillet.