Triste fait divers à la Fondation
Extrait d’un mail d’Albeiro : « Hoy tuvimos una triste tragedia con unos de los abuelos externos, quien portaba un arma de fuego, y disparo dos tiros a otro abuelo vecino de el. Despues el abuelo externo corrio y se escondio en la fundacion, pero nosotros no sabiamos nada, hasta que llego la policia, la fiscalia y todos los entes judiciales y de control…… Ya se imaginara el escandalo. Al abuelo de ochenta y un años, se lo llevaron a un calabozo, y el otro murio esta tarde en el hospital… Las cosas se complicaron, pero bueno, ahi debo estar para ayudar en lo que esta a mi alcance… »
« Aujourd’hui, nous avons eu une triste tragédie: un des abuelos « externes », qui avait une arme à feu, a tiré deux fois sur un autre abuelo, son voisin. Juste après, le premier prit la fuite et vint se cacher dans la Fondation. Nous ne nous doutions de rien, jusqu’à l’arrivée de la police, du juge et de toutes les autorités judiciaires. Tu peux t’imaginer le remue ménage! Agé de quatre vingt un ans, le tireur a été mis en prison. L’autre abuelo est mort, cet après midi, à l’hôpital. De nouveau des ennuis… mais c’est ainsi, je dois faire tout ce que je peux, pour aider… »
Malheureusement, des choses qui arrivent, au quotidien, dans ces quartiers de désespoir où la vie des hommes compte bien peu, quel que soit leur âge. Un triste « fait divers », trois lignes dans les journaux