Joies et peines de chaque quotidien
Extrait d’un mail d’Albeiro :
« Le cuento que el pasado 6 de octubre, hemos celebrado el aniversario de la Fundacion y la fiesta de los Angeles custodios. Fue un dia muy lindo, sobre todo de ver como esos niños viven y asumen su rol de angel Custodio. Aunque ese mismo dia me entere que la mamä de uno de los nuevos niños, que tan solo tiene 10 años y tiene 4 hermanos mas, y menores que el, Su mamá muere en una cama de un rancho de Trancision…Son estos problemas que aveces me consumen y me muevo como loco por todos los lados para ayudar y sobre todo para que sus hijos la ayuden a bien a morir… »
« Le 6 octobre, nous avons fêté l’anniversaire de la Fondation. Cela a été une belle journée, surtout lorsque l’on voit comment ces enfants « vivent » et assument leur rôle d’Ange-gardien. Malheureusement j’ai appris, ce jour-là, que la maman d’un des nouveaux Anges (qui a quatorze ans et a aussi quatre frères plus jeunes) est en train de mourir, dans une des baraques du barrio Transicion… Ce sont ces problèmes qui me rongent, et je me remue comme un fou, de tous côtés, pour aider… et surtout, pour que ses enfants l’aident bien, à l’approche de la mort… »
Tel est le quotidien d’Albeiro Vargas… depuis l’âge de six ans.